Jour : 27 novembre 2010

  • Tristesse d’Olympio

    Victor HUGO – Les Rayons Et Les Ombres (1840) Les champs n’étaient point noirs, les cieux n’étaient pas mornes. Non, le jour rayonnait dans un azur sans bornes Sur la terre étendu, L’air était plein d’encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures Son coeur s’est répandu…


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